• Joie-Yeux anniversaire mon bébé... 24 ans déjà et en feuilletant ton album pour tes 18 ans je n’en revenais pas en te voyant dans mes bras, de me voir si jeune et de surcroît que tu me ressembles autant et pour d’autres photos d’hésiter un instant entre ta petite sœur et toi... Justement, celle-ci me dit ce midi, du haut de ses 9 ans et demi: « Dis maman, comment on fait pour être une bonne mère? Parce que j’aimerais bien avoir des enfants mais...enfin je sais, faut qu’ils aient une maison mais quoi d’autre ? »
    « Alors tu sais Emmie, une mère n’est pas forcément mauvaise si elle ne peut pas offrir un toit à son enfant car si elle a le coeur ouvert c’est la meilleure maison qu’elle puisse lui offrir. On a à nourrir des besoins primaires pour une bonne santé(...) mais aussi des besoins énergétiques liés à de vrais câlins donnés avec Amour... ceux-là nourrissent parfois mieux qu’un repas forcé. En fait une bonne mère, est une mère qui a envie de l’être, peu importe les erreurs qu’elle fait car elle comprendra souvent plus tard pourquoi elle est passée par là. En fait tu es bonne si tu acceptes que tu puisses aussi être moins bonne car comme ça tu peux évoluer!» « Oui, alors si j’aime mon enfant je suis une bonne mère! »
    Bon le débat fut assez court finalement car bien ou mal, bon ou mauvais, on l’a bien compris, ce qui compte c’est le coeur qui gère l’équilibre...et le coeur physique aura un certain âge pour être une mère...physiologie oblige...mais le coeur spirituel a lui, l’Âme d’une Mère éternelle... Et, ce que je sais au fond de moi, c’est qu’au plus loin que mes souvenirs d’enfance m’emmènent, j’ai toujours voulu être mère... cette envie-EN-Vie est bien celle qui nous soutient dans les moments de doutes, de difficultés, de craintes, de douleurs...et c’est l’En-Vie encore qui nous permet de leur offrir le meilleur de nous-mêmes dans notre conscience du moment alors...vive les photos pour nous rappeler... nous souvenir et comme dirait Alexandre Jollien, " grandir n’est pas s’enrichir de quelque chose de nouveau, mais découvrir ce que l’on a déjà à l’intérieur... "

     

     

     

     

     

     

     

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  • Quand tu stockes ton tas de plumes de paon dans un bocal et que tu te dis que ça va peut-être rester une décoration du moment . Observer 5 minutes chaque détail de ces plumes équivaut à une heure de méditation silencieuse... c’est l’œil conscient qui t’observe en fait . Vous avez vu ces plumes allongées et vertes? Elles s’appellent des barbules .Ce sont de pures merveilles où à chaque fois que j’en trouvais une quand Peter était en mue, c’était une pépite qui s’offrait à moi... l’émerveillement face à l’infiniment petit autant qu’à l’infiniment grand est la véritable nourriture du corps de l’alchimiste La roue du paon avec ses milles « yeux » (les ocelles)nous invite à observer, à rester vigilants... à être concentré sur le centre de la roue de la vie. Il est important de se relier aux rythmes et aux cycles de la terre. L’harmonie avec les forces de la terre est essentielle, car la déconnexion et le manque d’harmonie créent la maladie. La roue de médecine parle de la vie, de l’interrelation, et de la façon dont tout se transforme. Toutes les choses sont reliées entre elles et ne font qu’un dans le cercle de la vie… Tout y est comme une chaîne où chaque maillon est en interaction avec tous les autres et joue un rôle unique. Et c’est là que réside le fondement de notre Univers. Alors gardons l’œil ouvert mais ne crions pas « Léon » (comme le paon) mais sentons les « ON » qui nous unissent puisqu'ON est tous un maillon de la chaîne!

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  • C.O.M.M.E O.N A.P.P.R.E.N.D À M.A.R.C.H.E.R E.N M.A.R.C.H.A.N.T, O.N A.P.P.R.E.N.D À P.E.N.S.E.R E.N P.E.N.S.A.N.T... Quel bonheur ces ateliers mais qu’est-ce qu’il est difficile pour certains de se centrer dans l’instant présent calmement et ce n’est plus 2 ou 3 comme il y a quinze ans mais le triple. Je débute toujours par une pratique de l’attention pour leur donner des clés pour faciliter leur concentration. Je leur demande avant et après la séance comment ils se sentent. Avec eux, je suis passée de la chanson "Tout le bonheur du monde" pour les faire réfléchir sur «c’est quoi le bonheur pour vous?», à un extrait du film Vice Versa pour les amener à accepter leurs différentes émotions. Ensuite j’ai utilisé le livre de Michel Piquemal avec une philo-fable sur la peur pour les amener à prendre conscience de l’importance d’apprivoiser ses peurs. Puis le mythe de Platon avec l’anneau de Gygès qui donne le pouvoir d’être invisible ! Belle opportunité de pratiquer la morale sur le bien et le mal. Notre dernier atelier philo sur la question du silence avec la vidéo de Mily Miss questions était un moyen de les amener à réfléchir sur le bruit extérieur qui peut nous gêner pour nous concentrer mais aussi à comprendre qu’il faut aussi apprendre à faire du silence dans sa tête. Une façon encore de faire le lien entre les pratiques de l’attention qu’ils débutaient à chaque cours et le besoin de concentration que leur demande chaque apprentissage
    Des enfants avaient des rôles de secrétaires, de dessinateurs, de maître de sagesse (quand ça s’agite dans la classe) et de maître du temps (pour respecter l’horaire). Ils prenaient à cœur leurs différents rôles et nous partageaient en fin de séance leur travail.Je suis toujours émue par certaines réflexions très matures des enfants, elles permettent de rebondir sur le sujet posé et d’interpeller les camarades. Je me souviens d’un enfant qui a eu du mal à rouvrir les yeux après la pratique de l’attention, quand je lui ai demandé ce qu’il avait ressenti, il m’a répondu qu’il s’était senti seul, comme si personne n’était autour!

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  • Dit...c'est-TEMPS! Ou 17 ans!

    Dit…-c’est-TEMPS !

    Joie-Yeux anniversaire mon grand, pour tes 17 ans !

    Je partage en ce 16 janvier 2020 un extrait du journal de ma grossesse dont je qualifierais l’expérience vécue comme une très très belle synchronicité. J’ai compris ces dernières années que celui qui souffle aux futurs parents le prénom du futur bébé… c’est le bébé lui-même avec l’esprit qui le guide et qui entre en communication avec l’esprit de ses parents. Après, si la communication est fluide entre ces différents esprits, la manifestation se matérialisera… et ça créera les expériences, positives ou négatives qui devront se vivre pour évoluer … Quand les conditionnements et croyances sont trop imposants, le corps et l’esprit sont en décalage, ce qui explique qu’on ait pu voir des prénoms se transmettre de père en fils pendant des générations. Les donateurs ne laissaient pas leur intuitif parler ! Les bébés se devaient de porter « le poids du passé ». Ce n’est en aucun cas une forme de jugement pour dire ce qui est bien ou mal, C’EST !!! De plus en plus dans mes consultations je peux accompagner la personne au travers de son prénom, son nom et voir même le nom de jeune fille. C’est très révélateur de nos expériences ! Si l’Esprit est une dimension incommensurable qu’il nous est demandé de ne pas oublier sur Terre, notre identité physique est aussi parfois un grand questionnement. Les paroles s’envolent, les écritures restent… ! La mémoire est un bien précieux qui peut s’altérer, ces écritures en sont d’infimes particules.

    Extrait du journal de ma deuxième grossesse

    Aujourd’hui 23 septembre 2002, j’ai décidé de commencer à évoquer les moments et surtout les écrire, de ma grossesse. En effet, il y a tellement de souvenirs à conserver pour pouvoir les relater un jour à mes enfants que j’ai peur d’en oublier. Pour cela, je vais revenir quelques mois en arrière puisque je suis à l’heure actuelle enceinte déjà de 5 mois et une semaine. En toute sincérité, une émission, « Les Maternelles », m’a incitée à écrire ces pages qui vont suivre : le sujet était « la mémoire de la petite enfance » et deux des mamans qui étaient présentes écrivaient tous les jours depuis le début de leur grossesse jusqu’à aujourd’hui pour leurs enfants. Et également, hier soir, avec « futur papa », nous avons trouvé le prénom de notre garçon si c’en est un, et ça s’est passé de façon tellement exceptionnelle que c’est un souvenir qui mérite d’être écrit bien que je sache au fond de moi que je ne pourrai jamais l’oublier si nous avons un garçon. (…)Nous regardions la télé et à la fin du film, comme souvent nous le faisons ces derniers temps, nous nous attardions sur les prénoms du générique au cas où !? (…) Ne trouvant toujours rien, et ce soir là, plus qu’un autre, j’étais agacée de rester vaine, j’ai pris un livre de prénom et j’ai continué à chercher dans les listes qui paraissaient infinissables. De temps à autre, j’en lisais un à haute voix, un bien ou un nul pour déconner et je dirais qu’au bout de 20 minutes le prénom a été trouvé à l’unanimité totale ! Le livre est classifié sous différentes catégories de prénoms : Les prénoms historiques, régionaux, mythologiques.. Je venais de terminer les prénoms de l ‘Antiquité et je repartais sur l’époque moderne toujours dans la catégorie Historique et j’ai lu un prénom qui me plaisait bien, n’ai rien dit et au bout de quelques secondes Thierry qui visionnait un match de foot m’a dit « Alec ?!?  » Et là, surprise, je lui demande : 

    « Tu as vu ce prénom à la télé ? »

    « Non ! »

    « Tu as vu ce que j’étais en train de lire ?? »

    « Ben non ! Le livre est tourné vers toi, je viens de penser à ce prénom, c’est tout. »

    « C’est incroyable je viens de lire Alec il y a un instant (et là je lui montre le prénom sur ma page) et il me plaisait bien mais je pensais que ça ne serait pas ton cas et toi, comme par enchantement tu me sors ce prénom !!! »

    Notre émotion était à son comble à ce moment ! On n' en revenait pas !!! Ainsi le prénom, c’était décidé, serait Alec. Et oui une fois de plus c’était un signe du destin ! J’ai cru au départ même, que c’était une transmission de pensée mais à en parler nous avons constaté que Thierry pensait déjà au prénom avant que je ne le lise. Nous avons fait référence tous les deux à l’acteur Alec Baldwin, pour cause c’est le seul Alec qu’on connaisse ! Mais maintenant quel sexe auront-nous pour surprise ? En tous cas les 2 prénoms auront une histoire qu’on n'oubliera pas. Ce soir là nous avons décidé d’écrire Lauralice ainsi : Loralys. Alec ou Loralys c’est pas mal non ? En tout cas le nom sonne bien avec. Elisa, sa grande soeur, qu’on a mise dans la confidence aime bien aussi, par contre, elle a du mal à retenir celui de la fille.

    Aujourd’hui, du haut de ces 17 ans, ces écrits n’ont pas été lu par lui dans leur totalité mais je sais qu’ils pourront peut-être un jour lui offrir un réconfort, une réponse à des questions, des précisions…

    Moi, je ris en me souvenant de Loralys ce prénom de fille qui aurait pu lui être attribué. Il m’est venue il y a quelques semaines seulement, cette réflexion : Loralys… l’Aura lisse… L’aura est une bulle d’énergie invisible à l’oeil nu qui entoure chaque être. La sienne est lisse et elle correspond à son féminin sacré… son intuitif, son écoute… pour faire bref… c’est un hyper sensible qui aura de belles compréhensions à venir !

     

    Photos: Alec à 2 ans (2005) et Alec à 7 ans, en câlin à sa future soeur (2010)

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    Bien Cher Tous,

    Clore 2019 ou n’importe quelle année avec l’espoir toujours, d’une année plus riche, non pas matériellement mais intérieurement, à savoir empli d’A.M.O.U.R et de compassion ... c’est fêter la V.i.E comme une grande histoire d’amour avec l’UN-Con-Nu ... savez-vous que le mot "con" désigne à l’origine le sexe de la femme? Se mettre à nu avec notre vulnérabilité dans toutes situations nous rapproche tant de l’unité... l’UN con NU ... un effet miroir de face à face avec nous mêmes avec notre conscience du moment... alors, si l’inconnu nous fait peur, vivons-nous réellement? Je me souviens d’un dessin d’un enfant de 9 ans dans un atelier philo où le personnage était couché avec une bulle où était noté « l’homme a peur de son ombre »... la peur de vivre pleinement ce qu’on ressent au plus profond de soi amène à survivre plus qu’à vivre. Ainsi, on se fait « du mauvais sang » et la Source qui nous guide est parfois brouillée. Ce texte accompagnant la photo n’est pas une invitation à boire de l’alcool mais peut-être pour aider à comprendre que le vin comme le divin sont essence-ciel à la fête. Mais attention, si boire nous fait perdre le contrôle du meilleur de nous-mêmes, alors c’est que nous sommes tombés dans le piège de la dépendance. La Fête(F-Êtes) de la Vie, c’est sentir la Fée divine de l’Être qui nous guide, et celle-ci suffit parfois à nous enivrer... en-Nid-Vrai ... cui-cui les petits oiseaux, je ne suis pas bourrée mais je vois sans cesse des étoiles au-dessus de moi et autour de moi quand je vous regarde...ainsi, même dans l’obscurité (mes doutes, mes questionnements...) je trouve toujours quelqu’un pour m’éclairer  ....


    Que 2020 vous éclaire et vous illumine d’étoiles pour vous éclairer sur chacun de vos pas et l’Âme-agit du dit-Vin haut-Père-RÂ ... Fil-Ose-Ô-Fée 

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